Qu’est — ce que le core ?

Le terme anglo-saxon core désigne le tronc, et plus précisément, la région lombo-pelvienne. Les mouvements fonctionnels dépendent tous, en général, de cette partie du corps. C’est de là que vient le terme core stability ou le gainage. En d’autres termes, la stabilité de cette région est très importante, car elle supporte les charges et elle protège la moelle épinière ainsi que les racines nerveuses. Le manque de développement musculaire central peut donc, entraîner une prédisposition aux blessures. Les principaux muscles concernés résident dans la région du ventre et du milieu et du bas du dos. Ils comprennent les hanches, les épaules, le cou, les fessiers, les triceps ainsi que les abducteurs et les adducteurs. Par ailleurs, le tronc permet aussi de stabiliser le thorax et le bassin lors d’un mouvement dynamique. Il fournit également une posture droite à notre corps.

Pourquoi faire du gainage ?

L’entraînement de la musculature du core ne se fait pas comme un simple renforcement du tronc. Dans les efforts athlétiques, l’endurance musculaire semble être plus importante que la force musculaire pure. Un manque de coordination de la musculature de la région lombo-pelvienne peut dans ce cas, conduire à une diminution de l’efficacité du mouvement et peut également, mener à des mouvements de compensation, qui peuvent provoquer des blessures. Et cela est valable aussi pour les non-sportifs. Pour éviter ces cas, il est préférable de réaliser des programmes d’exercices visant principalement la longueur et la mobilité musculaire existantes pour garantir une fonction articulaire optimale, surtout pour les sportifs. En d’autres termes, le gainage renforce notre colonne vertébrale, diminue le risque des blessures et contribue à affiner et tonifier la silhouette. C’est aussi un exercice qui permet de booster le métabolisme de base, mais aussi, de diminuer le taux de stress au quotidien chez une personne. C’est aussi pratique qui développe l’équilibre et la souplesse de tout le corps.

Comment bien faire son gainage ?

Il existe diverses positions pour faire du gainage. On peut le faire sur les mains, mais aussi en latérale. On peut également gainer en ajoutant des mouvements de jambes ou de bras. Cependant, la posture de gainage la plus connue reste la planche. Pour la réaliser, tout d’abord, il faut s’installer en position allongée sur le ventre. Les coudes posés au sol doivent former un angle droit et la tête doit suivre le prolongement naturel de la colonne vertébrale. Ensuite, en prenant appui sur les coudes, et non sur les mains, on s’appuie aussi sur la pointe des pieds sans soulever son corps. Par contre, il faut soulever les genoux qui ne doivent pas toucher terre. Les fesses doivent aussi, rester toujours bas et le dos bien droit face au sol. Puis, contractez les abdominaux au maximum pour verrouiller le tronc. Maintenez bien cette position le plus longtemps possible et n’arrêtez que lorsque vos hanches s’affaissent et que vos genoux tombent au sol. Pour finir, il faut répéter régulièrement cet exercice et ensuite, faire une évaluation de votre performance.

Classes collectives : bougez avec énergie, musique et conseils personnalisés

Si vous avez besoin d’être guidé, de bouger en musique pour maintenir votre motivation, les cours collectifs sont votre allié. Si vous résidez à Nancy et ses alentours, foncez découvrir cette salle de sport et ses activités variées : step, zumba, yoga, Body Combat, Body Attack, etc. Si elles vous conviennent, n’hésitez pas à faire un tour et vous inscrire. Sachez qu’en plus d’être guidé, dans une salle de fitness, vous pourrez découvrir des techniques auxquelles vous n’auriez pas pensé seul. Enfin, la possibilité de bénéficier d’un accompagnement (coachs à disposition) est souvent mise en avant dans les clubs.

Motivation boostée

Vous vous sentez moins seul. Le groupe, la musique et l’énergie collective vous poussent à vous surpasser, même les jours de baisse de moral.

Encadrement professionnel

Un coach qualifié dirige la séance, corrige les postures, ajuste l’intensité, ce qui réduit le risque de blessure.

Variété et fun des cours collectifs

Les programmes changent (cardio, renfo, danse, HIIT, etc.), ce qui évite l’ennui et sollicite différents muscles.

Exercices libres : à choisir si vous voulez un programme adapté à vos besoins précis

Perte de poids, prise de masse, endurance : vous pouvez organiser vos séances selon vos objectifs en manipulant les machines, haltères, câbles ou poids libres. Les séances sont totalement personnalisables. Vous choisissez les exercices, les séries, l’intensité et les temps de repos. Dans ce contexte, la progression personnalisée devient possible. Vous augmentez les charges progressivement, vous ciblez les groupes musculaires faibles ou vous variez vos programmes selon votre avancée. Cet entraînement individuel permet également de profiter d’un environnement calme, de vous concentrer et de respecter votre rythme.

Cependant, sans supervision, vous courez le risque de mal exécuter des mouvements, ce qui peut freiner vos progrès, voire entraîner des blessures. Une mauvaise technique peut diminuer l’efficacité de l’entraînement. C’est pourquoi il est judicieux d’effectuer quelques séances avec un coach individuel pour assimiler les bons gestes. Ensuite, vous pouvez vous entraîner en autonomie sans vous mettre en danger. Dans ce cas, abonnez-vous dans une salle de sport comme Well & Fit qui compte dans son équipe des coachs professionnels.

Mixer les deux formules pour de meilleurs résultats

Pourquoi choisir entre cours collectifs et exercices libres alors que vous pouvez profiter des avantages des deux ? Pour ce faire, choisissez une salle de sport qui propose non seulement des cours collectifs et des exercices libres. Les premiers vous permettent de bénéficier de l’énergie collective, de la régularité des séances et la diversité des activités. Ils vous motivent à être assidu, surtout lors des journées où la motivation n’est pas au rendez-vous. En parallèle, les séances libres vous donnent la liberté de travailler sur des points spécifiques : renforcer un muscle précis, améliorer votre endurance ou ajuster l’intensité de vos entraînements selon vos objectifs personnels.

Cette combinaison crée un cercle vertueux

Les cours collectifs « musclent » votre motivation et perfectionnent vos techniques, tandis que l’entraînement individuel consolide vos acquis et permet une progression régulière. De plus, alterner cardio collectif et musculation libre augmente la dépense énergétique et stimule davantage le corps. En combinant ces deux formules à chaque entraînement, vous variez vos exercices, évitez la routine et obtenez de meilleurs résultats. En clair, vous rentabilisez votre abonnement à votre salle de fitness.

Un usage simple

Le vélo électrique est assez similaire à un vélo classique. Mais à quelques détails près ! Donc, pourquoi devrait-on en acheter un ? On a plus de facilité à pédaler avec un vélo à assistance électrique. Il a beaucoup plus de puissance qu’un vélo normal. Il peut aisément remplacer tous types de transport. C’est pareil pour les trajets courts et moyens. On peut ainsi parcourir de longues distances. On peut rouler longtemps sans se fatiguer. Les cyclistes font des trajets plus rapidement. N’êtes-vous pas tenté d’en faire autant ? Un vélo électrique peut traverser facilement les embouteillages. Les risques d’accident de circulation sont minimes par rapport à celui d’un scooter.

Bon pour l’organisme

L’idéal serait de s’amuser tout en gardant la forme. Et bien, vous aurez tout cela avec un vélo électrique. Rouler sur un vélo est en même temps un loisir et un sport. Un moteur électrique vous aide à pédaler. Vous faites des efforts physiques plus facilement sur cette merveille. Faire un peu d’exercice physique est bon pour la santé. Adieu le stress et les problèmes de cœur ! Un vélo électrique aide à diminuer la tension artérielle. Vous pouvez même régler le niveau d’assistance pour vos exercices quotidiens.

Très économique

Plus besoin de faire des calculs, un vélo électrique est moins cher qu’une auto. Il est plus onéreux qu’un vélo classique. Mais il vaut son prix. Il est vrai que ce type de vélo est plus facile à entretenir qu’une voiture. Avec ce modèle, vous n’aurez plus à vous soucier des parkings, du carburant et de l’assurance. Il est également très facile à entretenir. Le coût de la recharge de la batterie est très abordable.

Le vélo sculpte la silhouette

Vous voulez perdre vos quelques kilos en trop ? Faites du vélo pendant 30 mn pour bruler au moins 200 calories. Pour espérer un résultat satisfaisant, suivez un programme régulier. Faites du vélo 2 fois par semaine. Chaque sortie à vélo doit durer au minimum 30 mn et il est important de faire durer l’effort. En plus de ces 2 séances par semaine, profitez de toutes les opportunités qui s’offrent à vous pour faire du vélo. Vous pouvez notamment faire du vélo pour faire vos courses ou rejoindre le bureau.

Le vélo sollicite tous les muscles du corps. Il mobilise les muscles glutéaux, les muscles des cuisses, des jambes, des bras, des épaules et également les muscles abdominaux. C’est un sport complet qui élimine les cellules graisseuses et tonifie toutes les zones du corps. Ce sport cardio et brûleur de graisse permet ainsi de sculpter la silhouette. La preuve, la plupart des cyclistes sont élancés.

Le vélo permet-il de perdre du ventre ?

Elancés, les cyclistes ont également des jambes saillantes. Donc ce cas, le vélo permet-il de cibler certaines zones du corps ?
Le vélo affine tout le corps et peut certainement tonifier avec plus d’insistance les jambes, car cette partie du corps est la plus sollicitée lors du pédalage. Malgré tout, l’on ne peut affirmer que le vélo permet de cibler une zone précise du corps. En effet, en pédalant, la ceinture abdominale, les muscles du dos, les cuisses, etc. sont toutes sollicitées. La perte de poids concerne ainsi le corps dans sa globalité. Ainsi, si votre objectif premier est de perdre du ventre, faites du vélo, mais suivez également les conseils sur www.santeplusport.com pour accompagner votre programme minceur, adoptez une alimentation saine et équilibrée, etc. Vous verrez, le résultat sera plus que satisfaisant. Enfin, n’oubliez pas de prendre plaisir en faisant du vélo. Changez souvent d’itinéraire pour explorer divers quartiers, divers parcs, etc. Si possible, envisagez des aventures à vélo dans d’autres villes. Quand le vélo devient un plaisir, il vous sera facile de respecter les 2 séances de vélo par semaine.

Différences entre vélo et vélo électrique

Que ce soit au niveau des caractéristiques jusqu’à l’entretien, la différence entre les deux types de vélo est palpable. De plus, le prix du vélo classique neuf est nettement moins cher que celui du Vélo électrique occasion.

Les propriétés

Le vélo ordinaire et le vélo électrique ont les mêmes caractères physiques. En effet, ils disposent tous deux d’un guidon, de pédales, de freins, d’un siège et d’un dérailleur. En revanche, la différence se trouve au niveau du fonctionnement. Les vélos électriques sont dotés d’un mécanisme de freinage à distance alors que les vélos ordinaires sont munis de freins à patin.
Étant équipés d’un générateur et d’une batterie, les vélos à courant ont plus de poids que les vélos classiques. Ils pèsent environ 17 à 25 kg alors que les vélos ordinaires n’excèdent pas 15 kg. De plus, le vélo électrique dispose d’un tableau d’affichage qui indique le niveau d’autonomie et permet à l’utilisateur de régler le niveau d’assistance.

La différence au niveau de l’usage

Le vélo classique est un véhicule dont le déplacement est possible grâce à la force humaine. En effet, le conducteur exerce une force sur le pédalier relié à la roue arrière par une chaîne. La vitesse du vélo dépend donc de l’effort fourni par le conducteur.
Parallèlement, le vélo électrique dispose d’une assistance électrique permettant au conducteur de déployer moins de force, car son système lui permet d’aider le cycliste à avancer. Ainsi, le vélo électrique est le moyen de transport idéal pour les charges. Si vous voulez un vélo électrique pour le déplacement des bagages, vous pouvez vous approprier ce modèle.

Différences au niveau du dépannage

Tous les vélos ont nécessairement besoin d’être entretenus. En effet, qu’ils soient électriques ou classiques, certains éléments sont à vérifier par les cyclistes. La vérification des pneus, des freins, du dérailleur et de la chaîne par exemple est à leur portée. On peut dire que la maintenance au niveau du vélo ordinaire peut être effectuée par le conducteur.
Par ailleurs, la maintenance du vélo électrique est un peu plus complexe. Pour cela, il est important de faire vérifier et/ou réparer votre vélo par des professionnels afin d’avoir une bonne qualité d’entretien.

Différence au niveau de l’accélération

De façon concrète, la vitesse d’accélération des vélos est plus grande que celle des vélos ordinaires. 15 km/h pour les vélos classiques contre 19 km/h. Il faut noter que la vitesse maximale adaptée au vélo électrique est à près de 50 km/h. Mais, certains États, et surtout en Europe, ont réglementé l’assistance aux pédales à 25 km/h.
Le conducteur du vélo électrique pédale tout de même plus vite que le conducteur d’un vélo classique. La différence s’observe au niveau de l’effort que fournissent les cyclistes. Si la bicyclette électrique est plus rapide, c’est grâce à sa capacité d’aller à une certaine vitesse même en étant sur les grandes tournées.

Les règlements et les frais d’achats des vélos

Les deux types de vélo sont différents au niveau technique, ils fonctionnent aussi sous différentes règles. Ce n’est donc pas étonnant qu’ils aient différents prix.

La différence au niveau des réglementations

Certaines réglementations sont appliquées aux deux types de vélo. Après les réglages, un vélo doit être suivi d’un manuel pour être livré au conducteur. Il doit être doté d’éclairage et d’une sonnette sans oublier le mécanisme de freinage. Ces règlements s’appliquent aux deux types de vélo.
Cependant, en ce qui concerne les vélos électriques, les réglementations sont multiples. Comme règles, il faut noter :
● L’utilisation d’un moteur limité à 250 watts,
● La limite de l’assistance électrique à 25 km/h,
● L’assistance électrique se déclenche par les pédalages du cycliste.
En cas de non-respect de ces conditions, le vélo électrique n’est plus considéré comme tel et devient par conséquent un cyclomoteur.

Différence au niveau des frais d’achat

La différence entre le prix d’un vélo électrique et celui d’un vélo ordinaire est élevée. En effet, pour avoir un vélo classique, vous devez simplement débourser un budget d’au moins 150 euros. En revanche, le prix d’un vélo électrique est au minimum de 1 000 euros et peut atteindre 7 000 euros selon le modèle.
Certaines régions mettent en place des aides financières à la disposition des acquéreurs pour réduire le prix des vélos électriques.

Enfin, on peut dire que le vélo électrique est la version évoluée du vélo ordinaire. Or, le but est de réduire l’effort que doivent fournir les cyclistes. L’utilisation du vélo électrique est conditionnée par le respect de certaines règles.

Les courses sur circuits

Vous avez le choix entre les courses de sprint et les courses d’endurance dans cette discipline. Le sprint peut durer une vingtaine de minutes alors que l’endurance peut aller jusqu’à 24 heures selon l’épreuve. Les 24 heures du Mans est un bel exemple de course d’endurance que vous pouvez apprécier pleinement. Concernant les catégories de voiture, il en existe trois avec les courses sur circuits. Plus précisément, il y a les monoplaces (Formule 1), les grands tourismes (GT) ainsi que les prototypes.

Les rallyes

Les courses de Rallye sont nombreuses dans le monde. Celle qui attire le plus de spectateurs est le WRC. Cette compétition est généralement reconnue comme étant le championnat mondial des courses de rallye. Normalement, les courses sont réparties en divers secteurs aussi communément appelés « spéciales ». Ces épreuves peuvent se jouer sur différents types de piste comme la terre ou la neige. L’objectif pour chaque équipe est de signer le meilleur temps dans chaque spéciale. Pour ce faire, le pilote est toujours accompagné d’un copilote.

Le drift

Le drift est une discipline automobile qui tire son origine du Japon. Le principe repose sur la manière dont les pilotes arrivent à contrôler leur véhicule sur des pistes spéciales. Le drift mélange parfaitement la vitesse et le spectacle. Il faut noter que cette discipline a pris petit à petit sa place dans le monde entier. Il est désormais possible de voir des compétitions de drift en Europe. Il faut aussi savoir que cette discipline affiche de l’originalité qui ne fait qu’attirer l’attention des amateurs de course de vitesse.

Les compétitions en montagnes

Les courses de montagne offrent généralement beaucoup de spectacles pour les amateurs. Ces derniers sont des milliers à assister à ce type de course chaque fois qu’il y a une compétition officielle. De nombreuses marques de voitures mythiques ont déjà été aperçues dans les compétitions de course en montagne comme Porsche. Les courses de montagnes attirent toujours autant de spectateurs malgré l’apparition de nouvelles disciplines.

1. Entraîneur

Dans la plupart des cas, les sportifs choisissent de se reconvertir en entraîneur. Travaillant dans un club de sport, l’entraîneur s’occupe de l’entraînement d’un sportif ou d’une équipe. La motivation et les résultats des sportifs dépendent des compétences de l’entraîneur. Celui-ci se charge de concevoir le programme d’entraînements tout en tenant compte du niveau des sportifs ou du calendrier des matchs. Dans certains clubs, l’entraîneur peut être assisté par un préparateur physique et une équipe médicale. En tout cas, il faut savoir que le Business Club Resovalie accompagne les sportifs dans leur reconversion. Ils sont aidés aussi bien en termes d’immersion en entreprise que de formations. La rémunération d’un entraîneur est en moyenne 2 300 euros par mois. Mais, cela peut aller jusqu’à 7 000 euros le mensuel.

2. Consultant sportif

Un consultant sportif est souvent sollicité pour ses services en conseil. C’est un métier généralement exercé par d’anciens sportifs. Il se charge de conseiller, d’aider et de renseigner le sportif. Ce professionnel intervient aussi dans les émissions télévisées ou en radio en tant que commentateur des prestations des sportifs. Il n’est pas nécessaire de faire une quelconque formation pour exercer le métier de journaliste sportif. Toutefois, il est conseillé de passer par une école de journalisme. Le consultant sportif perçoit au minimum 3 000 euros par mois.

3. Responsable média sportif

Sous la supervision du Directeur de la Communication, le responsable média sportif intervient lors des relations avec les différents médias aussi bien généralistes que spécialisés. Sa mission est de définir et d’élaborer les stratégies de relations à entretenir avec les journaux, les télévisions ou encore les radios. Pour exercer ce métier, il faut être titulaire d’un diplôme de Master en communication, en économie, en gestion ou en sciences humaines. Ce responsable peut gagner un salaire brut de 30 000 euros par an, voire même 50 000 euros.

4. Coach sportif

Le coach sportif se charge d’accompagner les équipes afin d’atteindre des objectifs sportifs. Il participe dans l’épanouissement physique et mental des sportifs. Son champ d’intervention est élargi. En effet, sa mission est de préparer les compétitions de professionnels, mais aussi de soutenir les personnes en surpoids. Pour cela, le coach élabore des programmes personnalisés qui sont adaptés à chaque sportif. Son salaire moyen correspond au SMIC, mais peut dépasser les 1 600 euros le mensuel.

5. Coach bien-être

Un sportif de haut niveau peut aussi se reconvertir en coach bien-être. Ce dernier a pour mission d’accompagner des personnes à la recherche d’un bien-être durable. Il se charge de fournir les outils nécessaires et de donner les missions à accomplir afin que le client puisse surmonter ses difficultés et atteindre les objectifs. Cette profession est accessible à tous même sans diplôme. Un coach bien-être est rémunéré à l’heure. Sa prestation vaut 50 à 150 euros par heure. Son salaire dépend surtout de sa notoriété et du type de mission.

Acquérir le bon équipement

Votre performance en bicyclette dépend en grande partie de sa qualité. Il ne s’agit cependant pas d’acheter un vélo hors de prix qui n’est pas adapté à votre pratique, mais de choisir un vélo adapté à votre taille pour préserver vos muscles. Un vélo plus petit vous oblige à vous courber et un vélo trop grand demande beaucoup d’effort à votre corps.

Outre le vélo, vous avez également besoin des vêtements confortables. Il existe des vêtements pour cyclisme qui permettent d’éponger vos transpirations lorsque vous pédalez. Les chaussures de sport sont également de mise pour protéger vos pieds. Cependant, si vous pédalez d’une façon plus douce, les vêtements de sport ordinaires font l’affaire.

En plus du vélo et des vêtements, vous avez également besoin des accessoires de protections comme le casque, les genouillères, les gants, etc. Ils peuvent vous protéger en cas d’accident. Pour mesurer vos efforts lors du pédalage, vous avez besoin d’une montre connectée.

Se préparer avant de sortir

La règle d’or avant de commencer sa balade à vélo est de se préparer. Il n’est pas conseillé d’étrenner directement son vélo sans étirement ni échauffement. Une préparation de 5 à 10 minutes vous éviterait des courbatures à votre retour. Il est également important de vérifier l’état de votre vélo avant de partir. Cette vérification vous permet de ne pas rencontrer une mauvaise surprise telle qu’un pneu crevé ou un frein qui lâche au beau milieu de nulle part. D’ailleurs, il en va de votre sécurité.

À part l’état général de votre bicyclette, vous avez également besoin d’essayer sa vitesse. C’est primordial pour déterminer un éventuel déraillement. Pédaler un vélo qui déraille est un vrai calvaire. N’oubliez pas également d’huiler la chaîne et les roulements.

Lors de la préparation, assurez-vous que tous les accessoires dont vous avez besoin sont à portée de main. L’élément que vous ne devez jamais oublier est l’eau. Faire du vélo sans vous hydrater peut être néfaste pour votre santé. Sur endurance-alpha.com vous saurez un peu plus sur la pratique du vélo.

Bien choisir son parcours

Le parcours à effectuer dépend de votre objectif. Cependant, même si vous ne voulez pas gagner le maillot jaune, il est toujours agréable de déterminer au préalable son parcours. Faire du vélo en ville est déconseillé, car vous risquez d’être interrompu régulièrement par les passants ou les différents feux de signalisation. Optez pour un parcours en dehors de la ville.

Faites cependant attention, car les pistes avec une côte vous demandent un peu plus d’effort. En pleine nature, vous faites également face au vent qui est l’ennemi numéro un des cyclistes. Assurez-vous d’avoir suffisamment d’expériences avant de vous aventurer vers une destination plus loin. Si vous débutez, faites le tour de votre quartier pour vous familiariser avec votre vélo.

Les sports doux populaire

Tout le monde aime la danse, c’est un fait. Cette activité sportive est la plus populaire des sports doux. Elle peut être pratiquée par tout le monde, n’importe où, et il n’y pas de saison ! Ensuite nous avons la rando, une activité qui permet de s’évader. Seul ou en groupe une randonnée fait toujours plaisir. L’aquagym, souvent appelé sport pour mamie. Ce n’est pas grave, l’aquagym vous permet d’être en harmonie avec l’eau. C’est amusant en plus d’être bénéfique pour le corps. Le Yoga, un sport pour canaliser son énergie en faisant des mouvements souple et des exercices de respiration. Ce sport fait tout autant de bien au physique qu’au mental. Enfin le moins doux mais aussi est des plus pratiqué au monde, le vélo. Et non, le vélo n’est pas seulement réservé aux enfants. La pratique se fait par tout le monde.

Les sports doux sont pour qui ?

Les sports sont pour tout le monde surtout pour ceux qui n’ont pas la fibre sportive ou ceux qui commencent à pratiquer. Vaut mieux toujours commencer avec calme avant d’entrer dans la cour des grands. Ils sont également faits pour les gens qui n’ont pas beaucoup à investir dans le sport. Comme ça ils peuvent faire du sport sans avoir peur de se faire mal ou de se blesser car le sport est vraiment indispensable pour garder la pêche.
Les sports doux sont surtout recommandés pour les femmes enceintes et les personnes présentant des incapacités physiques.

La veille

Pour mieux s’apprêter à ce grand jour, renseignez-vous la veille sur les conditions météorologiques dans la zone où vous allez faire votre saut. Si on prévoit une petite baisse de température, enfilez une chemise à manches longues ou un petit pull. Certes, on peut vous offrir une combinaison de saut pour cette activité, mais pensez quand même à vous habiller en fonction de la météo. Si on prévoit du vent, des nuages ou de la pluie, demandez aux organisateurs si l’activité est toujours maintenue. Dans le cas contraire, demandez la date de report de ce saut en parachute. La veille, il est également conseillé de rester sagement chez soi et de bien dormir.

Le jour J

Beaucoup pensent qu’il n’est pas vraiment judicieux de manger le jour J du saut. C’est tout à fait faux. Il vaudrait mieux qu’il y ait un petit quelque chose dans votre estomac et pour ne pas avoir des nausées, il est conseillé de manger comme on le fait d’habitude. Pour moins vous exposer au mal de l’air et aux étourdissements sous le parachute, il est également fortement recommandé de s’hydrater correctement. Évitez à tout prix l’alcool, car il ne vous aidera pas et on peut même vous interdire le saut.
Pour ne pas vous stresser encore plus, arrivez un peu plus tôt sur les lieux. Ce petit temps que vous avez avant d’embarquer vous donnera l’occasion de questionner les instructeurs et de vous familiariser avec eux. Vous pourrez également réaliser toutes les démarches administratives en toute quiétude. Quand l’heure du départ sonne, soyez attentif aux explications de votre instructeur et essayez de vous détendre. Une fois la porte de l’avion ouverte, n’hésitez pas plus longtemps, respirez un bon coup et lancez-vous.