1. Entraîneur

Dans la plupart des cas, les sportifs choisissent de se reconvertir en entraîneur. Travaillant dans un club de sport, l’entraîneur s’occupe de l’entraînement d’un sportif ou d’une équipe. La motivation et les résultats des sportifs dépendent des compétences de l’entraîneur. Celui-ci se charge de concevoir le programme d’entraînements tout en tenant compte du niveau des sportifs ou du calendrier des matchs. Dans certains clubs, l’entraîneur peut être assisté par un préparateur physique et une équipe médicale. En tout cas, il faut savoir que le Business Club Resovalie accompagne les sportifs dans leur reconversion. Ils sont aidés aussi bien en termes d’immersion en entreprise que de formations. La rémunération d’un entraîneur est en moyenne 2 300 euros par mois. Mais, cela peut aller jusqu’à 7 000 euros le mensuel.

2. Consultant sportif

Un consultant sportif est souvent sollicité pour ses services en conseil. C’est un métier généralement exercé par d’anciens sportifs. Il se charge de conseiller, d’aider et de renseigner le sportif. Ce professionnel intervient aussi dans les émissions télévisées ou en radio en tant que commentateur des prestations des sportifs. Il n’est pas nécessaire de faire une quelconque formation pour exercer le métier de journaliste sportif. Toutefois, il est conseillé de passer par une école de journalisme. Le consultant sportif perçoit au minimum 3 000 euros par mois.

3. Responsable média sportif

Sous la supervision du Directeur de la Communication, le responsable média sportif intervient lors des relations avec les différents médias aussi bien généralistes que spécialisés. Sa mission est de définir et d’élaborer les stratégies de relations à entretenir avec les journaux, les télévisions ou encore les radios. Pour exercer ce métier, il faut être titulaire d’un diplôme de Master en communication, en économie, en gestion ou en sciences humaines. Ce responsable peut gagner un salaire brut de 30 000 euros par an, voire même 50 000 euros.

4. Coach sportif

Le coach sportif se charge d’accompagner les équipes afin d’atteindre des objectifs sportifs. Il participe dans l’épanouissement physique et mental des sportifs. Son champ d’intervention est élargi. En effet, sa mission est de préparer les compétitions de professionnels, mais aussi de soutenir les personnes en surpoids. Pour cela, le coach élabore des programmes personnalisés qui sont adaptés à chaque sportif. Son salaire moyen correspond au SMIC, mais peut dépasser les 1 600 euros le mensuel.

5. Coach bien-être

Un sportif de haut niveau peut aussi se reconvertir en coach bien-être. Ce dernier a pour mission d’accompagner des personnes à la recherche d’un bien-être durable. Il se charge de fournir les outils nécessaires et de donner les missions à accomplir afin que le client puisse surmonter ses difficultés et atteindre les objectifs. Cette profession est accessible à tous même sans diplôme. Un coach bien-être est rémunéré à l’heure. Sa prestation vaut 50 à 150 euros par heure. Son salaire dépend surtout de sa notoriété et du type de mission.

La veille

Pour mieux s’apprêter à ce grand jour, renseignez-vous la veille sur les conditions météorologiques dans la zone où vous allez faire votre saut. Si on prévoit une petite baisse de température, enfilez une chemise à manches longues ou un petit pull. Certes, on peut vous offrir une combinaison de saut pour cette activité, mais pensez quand même à vous habiller en fonction de la météo. Si on prévoit du vent, des nuages ou de la pluie, demandez aux organisateurs si l’activité est toujours maintenue. Dans le cas contraire, demandez la date de report de ce saut en parachute. La veille, il est également conseillé de rester sagement chez soi et de bien dormir.

Le jour J

Beaucoup pensent qu’il n’est pas vraiment judicieux de manger le jour J du saut. C’est tout à fait faux. Il vaudrait mieux qu’il y ait un petit quelque chose dans votre estomac et pour ne pas avoir des nausées, il est conseillé de manger comme on le fait d’habitude. Pour moins vous exposer au mal de l’air et aux étourdissements sous le parachute, il est également fortement recommandé de s’hydrater correctement. Évitez à tout prix l’alcool, car il ne vous aidera pas et on peut même vous interdire le saut.
Pour ne pas vous stresser encore plus, arrivez un peu plus tôt sur les lieux. Ce petit temps que vous avez avant d’embarquer vous donnera l’occasion de questionner les instructeurs et de vous familiariser avec eux. Vous pourrez également réaliser toutes les démarches administratives en toute quiétude. Quand l’heure du départ sonne, soyez attentif aux explications de votre instructeur et essayez de vous détendre. Une fois la porte de l’avion ouverte, n’hésitez pas plus longtemps, respirez un bon coup et lancez-vous.

Événements en plein air, la meilleure option en période de pandémie

Avec la pandémie de la COVID-19, organiser un événement à l’intérieur ne semble pas être une bonne idée. Limitations de capacité, utilisation de masques, recherche d’installations bien aseptisées et avec des systèmes garantissant une épuration constante de l’air, etc., telles sont les conditions exigées.

Évidemment, ce n’est pas seulement une question de sécurité et d’hygiène. La tenue d’événements dans des espaces ouverts permet aux organisateurs et aux participants de bénéficier de conditions beaucoup plus flexibles. Vous pouvez avoir, dès le départ, un paysage de fond exceptionnel : une terrasse avec vue sur la mer, un jardin ou un parc agrémenté de fleurs, etc. Tout cela ajoute de la valeur à l’événement, car non seulement vous profiterez d’un beau paysage, mais pourrez également rassembler plus de monde.

L’un des grands avantages de l’organisation d’événements dans des lieux ouverts est que l’on peut recevoir plus de personnes. Si le climat ne permet pas un événement en extérieur, il faudrait trouver un local gigantesque pour que vous puissiez recevoir plus de gens malgré les restrictions d’espace et de personnes. Mais alors, le coût de location peut s’avérer plus élevé.

Location de tentes, de chapiteaux et d’autres structures

Lors de la planification d’un grand événement en Ile de France, pensez à la location de tentes et de chapiteaux. En effet, les intempéries ne sont pas la seule raison pour installer une tente ou un chapiteau. Le soleil et la chaleur peuvent également déranger les convives, les participants ou les visiteurs (s’il s’agit d’une foire ou d’un salon). Dans ce cas, une structure ombragée constitue un abri idéal pour les visiteurs, les participants à l’événement.

Des tentes ou des chapiteaux avec des côtés couverts peuvent être installés si un climat venteux ou humide est prévu. N’oubliez pas que les structures fermées ont besoin d’une bonne climatisation. Dans les régions où le climat est plus froid, un système de chauffage peut être nécessaire pour maintenir une bonne température sous la tente ou le chapiteau. Pensez aussi à installer un sol solide ou un tapis si vous organisez un événement où les talons hauts sont au rendez-vous. S’il y a un risque que la pluie tombe, il est conseillé de s’assurer que la tente ou le chapiteau est installé dans un endroit en hauteur, à l’abri des dégâts des eaux.

Passer par une entreprise de location de matériel événementiel

Il est moins coûteux d’organiser un forum ou un mariage à l’extérieur, en plein air, que dans un environnement fermé. D’ailleurs, vous n’aurez aucun problème à équiper cet espace. Des tables pliantes aux grandes tentes, en passant par les rubans, les torches, les bougies, les lampadaires, les sièges, les fauteuils et les scènes, etc., l’entreprise de location de matériel événementiel peut mettre à votre disposition tout ce dont vous aurez besoin. De plus, ces entreprises proposent ces équipements en location à des prix raisonnables.

Quelles sont les principales causes de la sciatique ?

La sciatique est principalement due à des traumatismes physiques. L’irritation des nerfs peut être causée par des blessures, des chutes, de mauvaises postures, le fait d’être assis ou debout tout au long de la journée, la pratique intensive d’un sport (cyclisme, course à pied, football, etc.), les maladies dégénératives comme l’arthrose. Il faut aussi noter que la sciatique peut être en lien avec la hernie discale, c’est-à-dire l’usure ou la déformation des disques au niveau de la colonne vertébrale.
Certaines personnes sont particulièrement sensibles aux douleurs liées à la névralgie sciatique. Par exemple, les sportifs et les professionnels qui effectuent la manutention d’objets lourds ressentent régulièrement des maux au niveau des fesses. Ces derniers doivent donc consulter régulièrement leur médecin.

Quels sont les soins préconisés pour traiter la sciatique ?

En cas de douleur au niveau des fesses ou du dos, il est toujours prudent de consulter un médecin dans les plus brefs délais. Ce professionnel est le seul capable d’établir un diagnostic fiable concernant la cause des maux physiques ressentis. Dans le cadre d’une sciatique, le traitement consiste principalement à soulager les douleurs ressenties par le patient. Pour ce faire, le médecin prescrit des médicaments ou des remèdes naturels anti-inflammatoires.

Dans certaines circonstances, la sciatique peut entraîner une perte partielle de mobilité et de sensibilité des jambes. Pour rétablir le bon fonctionnement des membres inférieurs, des séances de physiothérapie s’avèrent indispensables : massage, soin ostéopathique, rééducation fonctionnelle, etc. Ces traitements ont pour objectif de soulager les tensions musculaires dans la zone où se situe le nerf sciatique. Grâce à des soins appropriés, le patient retrouve progressivement sa mobilité optimale, surtout au niveau des jambes. Si ces derniers temps, vous éprouvez des douleurs aiguës dans la zone du fessier ou du dos, en cliquant ici, entrez en contact avec un médecin qualifié.

Dans le cadre d’une sciatique extrêmement grave, le médecin peut parfois envisager une opération chirurgicale. Néanmoins, la programmation de ce type d’intervention est très rare. En effet, les médicaments et les séances de physiothérapie suffisent généralement à calmer la douleur au niveau des fesses.

Quelles sont les mesures de prévention de la sciatique ?

Sachez que les exercices physiques réguliers et modérés constituent la meilleure façon de limiter les risques de névralgie sciatique. Pour les sportifs, un bon échauffement s’impose avant les séances d’entraînement intensif ou les compétitions.
Faites également en sorte d’adopter une bonne posture au quotidien, c’est-à-dire un dos bien droit pour éviter la compression de la colonne vertébrale. Généralement, la position assise ou debout prolongée peut entraîner des douleurs au niveau du dos et des fesses. D’où la nécessité de s’accorder des pauses, tout au long de la journée, pour se dégourdir les jambes.

Curl biceps à la poulie basse

Pour réaliser cet exercice, mettez-vous debout, le dos droit et les jambes écartées conformément à la largeur du bassin. Avec les fessiers et les abdos gainés, tenez la barre de façon à ce que les paumes de vos mains soient orientées vers le ciel (prise supination). Fléchissez ensuite les coudes en les gardant fixes près du corps et répétez le mouvement.

Curl inversé à la barre EZ

Adoptez la position de l’exercice précédente (debout, dos droit, jambes écartées, fessier et abdos gainés). Ensuite, saisissez la barre de telle sorte que les paumes de vos mains soient face à vos jambes (prise pronation). Fléchissez les coudes sans les avancer et répétez le mouvement.

Curl pupitre barre EZ

Asseyez-vous devant le pupitre et écartez les mains suivant la largeur des épaules. Prenez la barre en prise supination tout en mettant vos bras sur le pupitre. Fléchissez ensuite vos coudes pour ramener vos mains à hauteur de vos épaules et répétez le mouvement.

Curl marteau

Mettez-vous debout, le dos droit et les jambes écartées conformément à la largeur du bassin. Les abdos et les fessiers doivent être bien gainés. Ensuite, tenez vos haltères le bras allongé sur le long du corps avec les paumes en face des jambes (prise neutre). Ramenez les haltères jusqu’à vos épaules, les deux mains en même temps, sans avancer les coudes et répétez le mouvement.

Curl incliné

Asseyez-vous sur un banc penché à 45° et gardez le dos en contact de ce dernier, la tête relevée. Vous devez bien appuyer vos pieds sur le sol. Prenez les haltères en prise supination, ramenez-les ensuite au niveau des épaules par la flexion des coudes et répétez le mouvement.

Essayer de respirer efficacement pendant la séance de sport

Les sportifs sont d’accord sur ce point : le contrôle du souffle est important. La respiration devrait fournir le maximum d’oxygène dans le sang. Bien oxygénés, les muscles du corps peuvent fournir plus d’effort. Pour oxygéner les muscles et les organes du corps, il faut exploiter la capacité totale des poumons. Pour ce faire, il faut éviter d’inspirer l’air en bombant le haut du thorax. Ce geste ne sert pas à grand-chose. En effet, c’est davantage le fond des poumons qu’il faut remplir d’air. Pour cela, vous devez faire une respiration ventrale lente au quotidien. Cette technique de respiration est assez compliquée si vous devez courir ou faire des pompes. Certaines pratiques sportives requièrent d’ailleurs des techniques spécifiques pour gérer le souffle. Dans tous les cas, vous avez intérêt à exploiter la totalité de vos poumons, du moins pendant la phase de repos, la phase de récupération. Vous devriez pouvoir dégager jusqu’à 1 litre d’air chargé de gaz carbonique grâce à la respiration ventrale. Si vous avez du mal à effectuer cette technique de respiration, pensez à vous inscrire à un cours. Un coach spécialisé dans le domaine apprend à tous ses élèves issus de divers milieux sociaux professionnels à bien contrôler leur respiration.

Adopter la bonne respiration en fonction de la discipline sportive

Comme vous pouvez le voir sur ce site internet, il existe différents exercices de respiration. La plupart de ces exercices permettent de gérer le stress. Avant une compétition sportive, savoir gérer le stress avec une technique de respiration est important. Pendant l’activité physique, il faut également maitriser sa respiration. A noter que chaque type de sport nécessite une technique de respiration spécifique. Lors d’un renforcement musculaire, il faut expirer puissamment au moment de l’effort. Ceux qui relèvent la barre au développé couché doivent ainsi pousser tout en vidant leurs poumons. Le thorax reste bombé, mais cela n’empêche pas une inspiration profonde pour remplir les cellules pulmonaires. En salle de gym, vous apprendrez davantage sur les réflexes concentriques, excentriques et isométries. Il revient à l’entraîneur d’indiquer la bonne méthode de respiration en fonction de la série à exécuter.
Pour la marche, le rythme de respiration doit être lent. Cela doit aussi être le cas lorsque vous nagez ou vous faites du jogging. Afin d’approvisionner les cellules en O2, il faut un mouvement de diaphragme long et fluide. L’expiration est doublement plus étendue que l’inspiration pour éjecter le gaz carbonique. Parfois, il est nécessaire d’ouvrir la bouche tout simplement pour pallier le manque d’oxygène après l’effort.

Avoir le bon équipement : une base essentielle

Comme tous les sports, il faut avoir les bons équipements pour pratiquer le fatbike. Généralement, il se pratique en hiver, dans ce cas, vous devez avoir les vêtements adéquats. Il ne s’agit pas de se couvrir avec de gros habits lourds, mais des vêtements chauds, mais qui permettent aussi de bien bouger. Et cela, tout simplement parce que c’est un sport qui fait bouger vos pieds en pédalant, mais aussi, parce que c’est une pratique très cardio. De ce fait, il serait mieux de bien vous couvrir avec des respirants et de mettre un coupe-vent. Par ailleurs, comme dans tout sport sur un véhicule roulant, le port de casque et toutes les protections utiles pour se protéger en cas de chute (au niveau des articulations surtout) sont obligatoires. Dans ce cas, sachez aussi que la plupart du temps, les parcs qui proposent des circuits pour fatbike louent les équipements dont vous aurez besoin, et cela, que vous soyez petit ou grand, femme ou homme. Si vous êtes débutant, il est préférable de choisir cette option et au fur et à mesure que vous progresserez, il sera possible d’en acheter.

Connaitre le pilotage du fatbike, étape par étape

Voici un conseil à bien tenir compte si vous comptez bien pratiquer ce sport et maitriser ce type de véhicule en randonnée. Pour votre première fois, allez sur des sentiers plus ou moins plats et dégagés, avec une neige bien tapée, histoire de vous familiariser avec votre bécane et voir comment vous allez pouvoir affronter les terrains difficiles. Dans ce cas, sachez que les dérapages et les chutes seront très fréquents. En d’autres termes, il faudra vous entrainer dur pour bien maitriser le terrain et le véhicule. Par ailleurs, durant une escapade en forêt ou en montagne, et surtout, dans la neige, il est essentiel de faire attention aux randonneurs en raquette. En effet, il n’est pas rare que vous empruntiez le même sentier. Ensuite, une fois que vous aurez maitrisé les bases, vous pouvez vous attaquer à des terrains plus enneigés et plus pendus. Cependant, même si vous sentez que vous avez acquis de l’expérience, mieux vaut toujours être accompagnés d’un professionnel de la montagne au cas où vous vous perdiez et afin d’éviter de se perdre dans une zone interdite avec une pente trop abrupte avec des risques d’avalanches, par exemple. Dans tous les cas, n’oubliez pas vos cartes des lieux, car elles vous seront toujours utiles. Enfin, avec beaucoup d’expériences et comme un professionnel, il vous sera possible de dévaler les pentes et accentuer les sensations fortes. Mais toujours aussi prudemment que possible.

Maitriser la conduite et profiter des bons moments

Les randonnées sont plus excitantes lorsqu’on les fait en groupe ou en famille. En effet, choisir de partir en vadrouille et découvrir ensemble les beaux paysages afin de passer de beaux moments ensemble sont parfaitement possibles avec un fatbike. Sur ce type de véhicule, vous aurez du temps d’apprécier le paysage en hiver, et s’approprier de la nature, même durant la période de grand froid. Sachez aussi que le fatbike est disponible sur le marché en différentes tailles. Il vous sera donc, possible de choisir la selle et le cadre appropriés pour votre enfant afin qu’il puisse également profiter de la sortie. L’essentiel c’est de se mettre bien au chaud tout en restant dans le confort total pour le pédalage.

4 outils à avoir absolument

Les clés Allen ou clés 6 pans, un accessoire passe partout, vous seront utiles pour pouvoir ajuster plusieurs objets et pièces sur votre vélo. Les plus indispensables sont celles avec une dimension 4, 5 et le 6. Ces clés vous aideront entre autres, à serrer ou desserrer vos vis et bien d’autres choses. De préférence, procurez-vous de deux jeux de clés (longues et courtes) pour accéder aux emplacements des vis (accessibles et moins accessibles). Puis, vous aurez aussi besoin d’une pince coupante. Cet outil vous permettra de bien couper les gaines et les câbles de freinage. Préférez toujours la bonne qualité dans ce cas, étant donné que cet outil est à multiple usage donc, pas uniquement pour votre vélo. Ensuite on a la clé à pédales. Cet accessoire est confondu en apparence avec la clé Allen chez certains, mais se différencie par l’existence d’un bras de levier plus long sur la manche. Il vous servira à monter ou à détacher votre pédale, ou tout simplement, pour les graisser. Enfin, vous avez aussi la dérive chaine qui est plus difficile à manier, mais cet outil est essentiel à posséder afin de régler ou changer vos chaines. Il est disponible en petit modèle, moins encombrant et facile à transporter (dans votre sac à dos) lors de vos déplacements.

4 autres outils indispensables

La pompe à pieds est un équipement indispensable à avoir chez soi, car elle vous permet de faire le check de vos pressions de pneus ou de les gonfler, si nécessaire que ce soit avant de prendre la route ou sur route. Avant l’achat de ce matériel, par contre, vérifiez que la pompe est compatible avec les valves des pneus. Cela, parce qu’il y a deux types de valves sur les vélos, dont la valve Prestas pour les vélos de routier et les VTC, et la valve Schrader pour les vélos tout terrain. Ensuite, il y a le pied d’atelier. Vous avez la possibilité de concevoir vous-même votre méthode de fixation ou faire l’achat d’un pied pour votre petit garage avec pour ce faire. L’important est que vous puissiez suspendre votre vélo et d’avoir vos mains libres afin d’effectuer les entretiens. Ensuite, vous devez aussi avoir un kit de réparation. Ce kit vous dépannera si vos pneus sont à plats. Optez pour des démonte-pneus plus résistants et raides, dans ce cas. Toutefois, vous n’aurez pas besoin de démonte-pneu si vos pneus sont en tubeless, car ce dernier risque de les détériorer. Et enfin, équipez-vous aussi d’un aérosol All in one. Ce petit bijou à lui tout seul, peut servir à décrasser, lubrifier, cosmétiquer et nettoyer votre vélo. Ce produit vous évitera également, les risques de rouille sur vos vis, chaine, etc. Mais il existe aussi des produits spécifiques pour chaque type d’entretien que vous aimerez effectuer donc, à vous de faire le choix selon vos besoins.

Trouvez l’endroit parfait

Trouver l’endroit idéal pour stocker son vélo est primordial pour le garder en bon état. Cet endroit doit être frais, mais pas trop, et surtout, à l’abri du soleil. En effet, le soleil peut être un véritable facteur nuisible pour un vélo. De ce fait, si vous avez pensé que votre balcon ferait l’affaire, trouvez une autre alternative, car à la longue, le soleil va endommager votre vélo, c’est-à-dire, sa carrosserie, sa peinture ainsi que les pneus et d’autres éléments de la bécane. Et même si vous projetez de le couvrir avec une bâche, cette dernière va certes, le protéger des rayons du soleil, mais elle va créer de l’humidité sous la bâche, qui risquerait de vite rouiller votre vélo, ou d’attaquer certaines pièces. Dans le cas où vous n’avez que ce choix, veillez à examiner et entretenir régulièrement la chaîne, les plateaux, les pignons et les vis qui risquent de se rouiller au fil du temps. En d’autres termes, il est préférable de faire prendre un peu d’air au vélo pour éviter la dégradation à cause de l’humidité.

Quels accessoires utiliser pour stocker son vélo ?

Pour ranger votre vélo efficacement, plusieurs choix possibles peuvent sont à votre disposition. Le premier est l’utilisation d’un pied de rangement. Son principal avantage est qu’il ne prend pas beaucoup de place, mais vous devez faire attention, car certains modèles de vélo ne sont pas adaptés à ce genre de support. Ensuite, il y a le râtelier. Il est l’idéal pour les familles nombreuses qui doivent stocker plusieurs vélos en même temps, dans un seul endroit. Cependant, il prend pas mal de place, alors inutile d’y penser si votre habitation n’est pas assez spacieuse. Ce sera le cas pour un petit appartement, par exemple. Et pour finir, il y a les systèmes de rangement suspendus. Ils existent en modèle pour plafond, mural ou encore en modèle mât de support. La seule condition à respecter pour ce type de stockage est le poids maximum soutenu par le dispositif qui doit être respecté afin d’éviter les accidents.

Pensez à la sécurité

Le lieu idéal pour stocker un vélo reste avant tout, un lieu en sécurité. Il ne servira à rien de stocker son vélo dans un endroit où vous allez vous le faire voler dès la première nuit ou dans un cadre où il est susceptible de tomber ou d’être manipuler par n’importe qui. De ce fait, évitez les lieux en extérieurs, car les voleurs de vélo courent les rues. Ensuite, placez-le loin des endroits trop fréquentés, où il pourrait être heurté par d’autres véhicules. Et enfin, choisissez un endroit à l’abri des intempéries. Pluie, neige, rafales de vent, etc., sont tous nuisibles pour un vélo. Et qu’importe l’endroit où vous allez le placer, vous pouvez également le couvrir avec une housse spéciale qui va le protéger contre un éventuel cas d’oxydation. Vous trouverez facilement ce modèle d’house dans n’importe quel magasin d’accessoires pour cyclistes. Si vous avez un vélo pliant, il vous sera facile de le ranger à l’intérieur à l’abri de tout, sinon, le garage reste une bonne option.

L’antivol vélo en U reste le plus fiable

Fait de fer renforcé ou d’acier trempé, l’antivol en U reste le plus fiable du moment. L’épaisseur du métal courbé dépasse généralement un centimètre. Cet élément métallique peut retenir le vélo sur un support fixe. Il faudra alors scier le poteau ou enlever la roue si la clé est égarée. Pour faire simple, il vaut mieux un modèle avec un code à trois ou 4 chiffres. Il faudra essayer de ne jamais l’oublier. Ce serait préférable aussi d’éviter de l’écrire quelques parts.

La chaine et le dispositif de sécurité pliable

La chaine offre une certaine sécurité à condition d’avoir une bonne épaisseur. En effet, une pince coupante peut rapidement venir à bout d’un maillon. Le dispositif pliable procure un peu plus de tranquillité si le câble qui se trouve à l’intérieur est suffisamment épais. Le fait qu’il soit pliable facilite le rangement. Puis, la longueur peut atteindre 100 cm une fois dépliée. Cela signifie que vous pourrez relier la roue avant à celle de l’arrière en passant par le cadre et le guidon.

L’ancre pour une sécurisation maximale

Le câble avec plusieurs fils renforcés offre une bonne résistance aux scies à métaux. L’ancre est une version rallongée de ce dispositif. Sa longueur peut parfois atteindre 10 mètres. C’est pratique pour sécuriser plusieurs vélos en même temps. Les ancres sont assez solides pour assurer la sécurité des motos et scooters. Seule une bonne épaisseur peut donner une sécurité optimale à plusieurs vélos.